Gerda Roosval-Kallstenius - Capture d'écran |
Anders Zorn - Capture d'écran |
Birger Simonson (école des coloristes de Göteborg) - Capture d'écran |
Ivar Kamke - Capture d'écran |
Gerda Roosval-Kallstenius - Capture d'écran |
Anders Zorn - Capture d'écran |
Birger Simonson (école des coloristes de Göteborg) - Capture d'écran |
Ivar Kamke - Capture d'écran |
Karl Hoffer, Sybille - capture d'écran |
« Moi, ça me gêne beaucoup, ces enquêtes, pseudo-enquêtes, sans preuve véritable, sans jugement (…) J’attends que la justice donne un verdict après une enquête approfondie. (…) Je suis gêné par cette chasse aux sorcières. »
Karl Hofer, Mutter und Tochter - capture d'écran |
¤ Deuxième point : il y a sur le site de l’ancien camp du Struthof (site au titre étrange : « Mémorial Struthof »…) des documents fort intéressants, régulièrement publiés notamment dans une chronique « L’archive du mois ».
(Appris incidemment par ailleurs que Michaël Landolt, dont il est question notamment ici et là, a été nommé récemment à la tête du CERD (Centre européen du Résistant Déporté).)
Le document commenté en ce mois de novembre est la déposition du déporté NN Roger Leroy en mars 1949, pour le procès de Metz.
Il y est question du traitement effroyable du kommando de NN français, chargés de faire des travaux de gros œuvre de ce qu’on appellera la « cave à pommes de terre », sous la direction de Franz Ehrmanntraut.
« Par tous ses aspects, la Kartoffelkeller est devenue le symbole de l’oppression, de l’épuisement, de l’avilissement des déportés par le travail et les coups ; de la volonté ultime des nazis d’anéantir toute résistance et tout espoir. »
Karl Hofer, Les prisonniers, 1933 - Capture d'écran |
Maintenant, on me demandera ce que vient faire Karl Hofer en ce billet ?
J'ai simplement découvert très récemment ce peintre, allemand (1978-1955), proche des expressionnistes, considéré comme « dégénéré » sous le régime nazi.
¤ Troisième point, que je ne développerai pas beaucoup car il n’a pas grand intérêt : eu maille à partir à nouveau avec le Château. Notamment, voilà K mis en cause ; on l’accuse (sans l’accuser directement bien sûr – c’est pourquoi je dis que ce sujet a un intérêt limité : la sous-klamminette locale à qui j’ai affaire semblant par trop médiocre) d’avoir simulé la maladie pour manquer une journée de travail. (Est-il besoin de signaler que K est très rarement absent?)
P.-S.: – Ajout. Je suis un peu de mauvaise humeur en fignolant ce billet, pour diverses raisons – on le voit avec ce qui précède. Bon, mais m’agace aussi le fait d’avoir loupé une conférence qui m’aurait vraisemblablement intéressé : « Déporté à Obernai ? », de Sandrine Gaume, le 30 octobre à Obernai. Je n’en avais nulle part vu mention, avant de la voir – on était déjà en novembre – sur le site internet de l’ancien camp du Struthof que je consulte pourtant régulièrement.
Il a été consacré trois billets en ce blog à ce camp. (Cliquer dans les mots clé, à droite, version ordinateur...)
– Lien à l’article précédent. Dans cette édition de La faim, de Knut Hamsun (Archipoche, 2023), il y a un avant-propos d’Octave Mirbeau, de 1895 (date de naissance de mon grand-père, de Florence Gould…) O. Mirbeau n’aime pas Strindberg, mais défend Hamsun ; à l’époque, la Norvège était liée encore à la Suède.
L'avant-propos est suivi d'une courte « préface » d'André Gide. Elle, date de 1950; elle a été publiée d'abord dans le numéro 15 de... la revue 84.
Détail d'E. Munch en illustration |
Voyez vous-mêmes :
Ill. Spektrum La Revue des revues, n° 70, p. 86. |
NB - Tallinn |
Henri Lebasque, Nu exotique, 1923 - Capture d'écran |
Henri Lebasque, Femme endormie - Capture d'écran |
Owe Zerge, Victoria Mortis, 1921 |
« Vem är du ?
– Jag är Döden.
– Kommer du och hämta mig ? »
« Qui es-tu ?
– Je suis la Mort.
– Tu viens pour m’emmener ? »
Owe Zerge - Capture d'écran |
On aura peut-être remarqué que ce blog adopte des thèmes parfois différents, avec trois (et bien vagues) peut-être qui surnagent, outre la S...