« Forcé » encore une fois d’écrire un billet de circonstance.
La nuit précédant l’entrée au Panthéon de Robert Badinter, sa tombe a été profanée à Bagneux.
![]() |
| Édition suédoise du Dernier jour d’un condamné de Victor Hugo |
Je ne peux m’empêcher de plonger les gens qui ont fait ça dans cette cohorte des anonymes – parmi lesquels les gens qui s’« expriment » derrière on ne sait quels pseudonymes sur des « réseaux » « sociaux », et s’en croient très utiles et intelligents.
Je ne sais trop que penser du système du Panthéon. En revanche, Robert Badinter – et, puisque sa tombe a été profanée, les siens –, l’abolition de la peine de mort, la dépénalisation de l’homosexualité (re-pénalisée auparavant par Vichy)… sont – quel qu’en soient les manières de leur rendre hommage – de bonne mémoire pour notre pays.
Rien à voir, quoique… Ces derniers mois, j’ai été confronté à des usurpations d’identité sur je ne sais (ne veux savoir) quels « réseaux » « sociaux », anonymement cela va sans dire (pour leurs « auteurs »).
(Je me suis tout de même fendu du remplissage d’un « formulaire » aux tenanciers de l’un de ces « médias »… ledit formulaire étant à peu près incompréhensible à l’honnête homme, utilisant des termes tels que « profil Threads »…)
Retour aux honnêtes gens ; Julien Clerc, entre autres…
« Mais on ne peut certains jours
Ecrire des chansons d'amour »
Nils Blanchard
Rajout d'étiquettes du dernier billet : Tidö, Stockholm, ONU, Israël, extrême droite, Göran Rosenberg.

Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire