C’est par hasard que j’ai retenu un paragraphe d'un blog, évoquant T.S. Eliot – parce que j’avais parlé l’auteur de Waste Land… Là... Et je reparlerai du paragraphe de ce blog… qui évoquait l’hiver sur la côte Ouest de la Suède.
Je n’avais même pas fait gaffe, quand j’avais évoqué T. S. Eliot – on était
encore en 2022 – que The Waste Land avait été écrit en 1921-1922. Mais
là n’est pas le propos.
Je voulais en reparler à propos d’Åke Edwardson à nouveau. Winter ; son
personnage… Dire que je commençais à trouver l’hiver long.
Mais cet hiver n’avait pas besoin de ces secousses sismiques, qui ont
causé la mort de milliers de personnes en Turquie et Syrie.
Pays qui plus est mal servis par des malchances – et des scandales – sur
lesquels on ne s’étendra pas ici.
Et là, ce n’est plus avril qui est le mois le plus cruel. En paraphrasant
Céline – sans le faire exprès, vraiment –, c’est février…
Or, ce paragraphe était tiré d’une traduction (suédoise, donc, de 1965)
« East Coker », deuxième poème des Four Quartets – De Fyra
Kvartetterna – Les Quatre Quatuors…
Or… Tenez, le début :
« In my beginning is my end. In succession
Houses rise and fall, crumble, are extended,
Are removed, destroyed, restored, or in their place
Is an open field, or a factory, or a by-pass.
Old stone to new building, old timber to new fires,
Old fires to ashes, and ashes to the earth
(…) »
Je vous laisse lire la suite ; on la trouve facilement.
Quant à la traduction… Ce n’est pas du suédois…
Je ne saurais trop recommander la traduction de Pierre Leyris bien sûr.
Déjà évoqué, etc.
Nils Blanchard
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